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HMMaître des clés
Bonjour,
Je ne voudrais pas me substituer à la société Hemotech. Je ne connais pas suffisamment leur matériel.
Ma réflexion est la suivante :
Plusieurs critères doivent être pris en compte :Le type de dialyseur utilisé
Le débit sang
La fonction PTM
La fonction manuelle ou automatique
Le type de concentré acidePar défaut les générateurs peuvent optimiser le taux de substitution en fonction du rapport défini avec le débit sanguin.
Le taux de substitution peut également être contrôlé automatiquement dans les limites de définies du TMP.Est-ce que ces paramètres sont identiques sur les 2 générateurs.
Attention le mode manuel peut en effet augmenter le volume de substitution mais également créer des alarmes intempestives de PTM en réponse à l’hémoconcentration s’il n’est pas maitrisé.
Je vous conseille de vous mettre en relation avec la société Hemotech.
Néanmoins je vous mets en lien certains articles sur l’HDF hyper intéressants de chez science direct.com
quel abord vasculaire, quel débit de pompe à sang, …
de M Hanoy · 2022 — Hemodiafiltration prescription: which vascular approach, which blood pump flow, which acid concentrate, which substitution flow, which modality?
https://www.sciencedirect.com/
science/article/pii/ S1769725522000347 Hubert METAYER
HMMaître des clésBonjour,
Vous rencontrez probablement un problème de lot pour les échanges de cette pièce.il m’ait arrivé d’en changer dans mon centre, mais c’était vraiment très rare et les machines avaient 30000 heures. Ils n’étaient pas non plus de 2017 ou 2018.
Je vous conseille de contacter le support technique de chez Fresenius. Peut-être un problème de fabrication!
- La société Fresenius sera présente lors de notre prochaine session de formation à Lyon/Bron le jeudi 30 novembre et le vendredi 1 décembre 2023.
- Rejoignez-nous, vous pourrez les interpeller à ce sujet.
Bien cordialement
Hubert MÉTAYER
HMMaître des clésBonjour Nicolas,
Dans tous nos centres, une désinfection est effectuée tous les matins sur tous les générateurs.
C’est notre pratique depuis des années.
Mais effectivement ça peut faire l’objet d’une discussion sur la limitation de nos impacts environnementaux.
Il faut participer à notre prochaine session qui se tiendra à Rennes, nous parlerons d’écologie!
Bonne journée
Hubert
HMMaître des clésBonsoir,
J’utilise encore le 90Dx qui sera prochainement réformé.
J’ai aussi le 90XL qui fonctionne très bien que l’on peut trouver chez Morgate biomédical.Pour ma part je vais prendre le 90GL .
Tous ces contrôleurs sont équipés avec les sondes appropriées au dialysat.HM
HMMaître des clésBonjour,
Il n’y a effectivement aucune norme sur la température. Lorsque je regarde la norme NFS 93–310 concernant le système de traitement et de distribution d’eau pour dilution des solutions concentré sur les exigences de conception, exploitation, performance et sécurité. Dans la rubrique température de l’eau.
Il est précisé que le fabricant doit connaître et tenir compte de l’amplitude des variations thermique de l’eau à l’entrée du système de traitement et de distribution d’eau.
La température de l’eau à l’entrée du système de traitement et de distribution d’eau doit être mesurable en raison de son influence sur :
1) La prolifération bactérienne.
2) Les performances des différents éléments du système de traitement et de distribution d’eau.
3) La température de l’eau pour dilution de solution concentrée pour Hemadialyse doit être compatible avec son utilisation par le générateur de DialyseDans nos centres, l’eau est actuellement à 17°. Un peu différent du sud !
Je n’ai jamais fait d’étude sur le risque de prolifération bactérienne au-delà d’une certaine température, mais avoir une procédure avec une limite à 25° me semble judicieux.
A Compiègne nous effectuons une désinfection thermique de la boucle tous les soirs et des membranes une fois par semaine.
Nous utilisons aussi l’HDF online et la tolérance l’eau est de 0,1mg/ml . Nous n’avons pas de problèmes lié à la température.HM
HMMaître des clésBonjour,
La centrale de distribution acide est-elle facteur de contamination ?
La question à laquelle nous devons répondre est la suivante : faut-il changer, stériliser ou nettoyer les cuves à chaque livraison.
Notre établissement s’était équipé d’une centrale de concentré acide permettant la distribution automatique à chaque générateur. Celle-ci était équipée de deux cuves de stockage en polyéthylène de qualité alimentaire, ayant une contenance de 2000 l chacune.
La détection extérieure des niveaux se faisait par l’intermédiaire de capteur capacitif intégré à un capteur externe (sa position étant réglable).
L’admission du concentré s’effectuait à partir d’une canalisation laissée en attente à l’extérieur de l’enceinte dans une armoire fermée à clé.
Un certificat du numéro de lot du concentré est joint à la livraison il sera collé sur la cuve afin de déterminer le lot défectueux lors d’une contamination.
Outre l’amélioration pratique de la manipulation du concentré, il nous a semblé intéressant et important de nous assurer de la bonne qualité bactériologique de celui-ci après distribution.
Nous avons fait une étude à 22 et 37° sur des périodes d’une semaine pendant huit mois.
Deux prélèvements de 100 ML étaient effectués.
Aucun germe n’est apparu sur la série de prélèvement pendant toute cette période.
En conclusion
l’interprétation et la réflexion que nous pourrions faire après cette étude seraient la suivante : est-il possible d’avoir une contamination bactériologique dans une centrale de concentré acide glucosé ?
Les résultats obtenus ne l’ont pas démontré. Il ne faut pas pour autant négliger la maintenance de ce type d’installation et effectuer dans une procédure de qualité des analyses bactériologiques périodiques.
Journal ATD octobre 2000
HM
HMMaître des clésBonjour,
Oui , il est vrai qu’il n’y a pas de cadre légale concernant les ionogrammes. Cela se fait généralement suite à une maintenance. Néanmoins, lorsqu’on se fie à certaines normes et plus précisément la NF S 93–3 15 on peut remarquer que pour les exigences du dialysat, il est recommandé de procéder à un contrôle endotoxinique et bactériologique du dialysat minimum une fois par an, voire plus si cela s’avère nécessaire compte-tenu de l’analyse de risques menée par l’utilisateur.
Il ne faut pas non plus oublier les exigences du dialysat concernant le liquide de rinçage, de restitution et de compensation.
En effet , les liquides de rinçage, de restitution et de compensation, produit en ligne par ultrafiltration du dialysat ultra pur ou tout autre moyen d’efficacité équivalente sont destinés à remplacer des solutions de faible volume fabriqué par l’industrie pharmaceutique.Ils doivent avoir les mêmes caractéristiques que le dialysat. Il faut donc s’en assurer et être vigilant sur la périodicité des ionos.
HubertHMMaître des clésBonjour Nico,
Non je n’ai jamais testé ce genre de procédé. Trop compliqué « pour tout le monde ».
En revanche, les patients ont un poste dédié. Ceci est nécessaire lorsque l’on utilise le logiciel Médial.
A Bientôt,
Hubert
HMMaître des clésVoilà ce que nous faisons dans nos centres.
Prélèvements du traitement d’eau
Les prélèvements bactériologiques, endotoxines et physico chimique
sont effectués par le technicien de dialyse et ou les infirmières 1 fois par mois ou après une intervention sur l’osmoseur ou sur la boucle.
Les résultats sont archivés dans un classeur et dans l’informatique.
Circuit des retours de résultats
Résultats conformes :
§ Pour les analyses endotoxiniques, à J1 : le biologiste du laboratoire transmet les résultats des analyses endotoxiniques :
Au néphrologue présent,au pharmacien, au technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
§ Pour les analyses bactériologiques, à J8 : le biologiste transmet les résultats des analyses bactériologiques au néphrologue.
Au néphrologue présent,au pharmacien, au technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
Résultats non conformes :
§ Pour les analyses endotoxiniques, à J1 : le biologiste du laboratoire avertit et transmet les résultats :
– par téléphone au néphrologue présent, au pharmacien, au technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
– par fax dans le service d’hémodialyse
§ Pour les analyses bactériologique, à J3 : le biologiste:
– alerte par téléphone le néphrologue présent, le pharmacien, le technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins et transmet au plus tôt les résultats des analyses bactériologiques.
Les résultats ne sont définitifs qu’à J8.
Conduite à tenir en cas de non conformité sur le plan bactériologique, endotoxines et /ou sur le plan physico chimique.
Sur prescription du néphrologue, en concertation avec le pharmacien, le technicien de dialyse et/ou la surveillante de soins
§ Dans tous les cas, un prélèvement de contrôle est nécessaire le plus tôt possible.
Non-conformité du liquide de substitution :
Ä Arrêter immédiatement le traitement en mode « Online«
Ä Passer en mode hémodialyse (utilisation de poches stériles de sérum physiologiques)
Ä Pratiquer une désinfection thermochimique du générateur
Ä Effectuer des prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
– si résultat non conforme :
– actions correctives sur le générateur par le technicien de dialyse
– désinfection thermochimique,
– prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
§ si résultat conforme : validation de la technique en mode « Online »
Non-conformité du Dialysat ou Dialysat ultra pur :
Ä Arrêter immédiatement la dialyse
Ä Isoler le générateur
Ä Pratiquer une désinfection thermochimique du générateur
Ä Effectuer des prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
§ si résultat non-conforme.
– actions correctives sur le générateur par le technicien biomédical
– désinfection thermochimique,
– prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
§ si résultat conforme : validation de la technique en mode hémodialyse
Conduite à tenir en cas de non conformité sur le plan de la biochimie
Non-conformité du ionogramme du dialysat ou du dialysat ultra pur
Ä La situation est appréciée par le néphrologue présent, le pharmacien, le technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
A bientôt
Hubert
HMMaître des clésTest 15/07/2021
HMMaître des clésBonjour,
La société IFMH commercialise une GMAO sous le nom de QB7.
<div class= »confit-address »>703 avenue du General de Gaulle, 38290 LA Verpillière</div>
<div class= »confit-phone »>04 74 99 81 60</div>
<div class= »confit-email »>contact@ifmh.fr</div>
<div></div>
<div>Hubert</div>HMMaître des clésBonjour Alain,
Nous utilisons depuis quelques temps le COT en remplacement de l’indice permanganate. Cette analyse physico chimique est obligatoire dans les centres de dialyse. La fréquence est fonction du nombre de séance par an. Pour notre centre lourd , nous sommes supérieur à 10000 dialyses par an , donc elle est à faire tous les mois.
L’analyse des données récentes montre que la méthode au permanganate de potassium peut être remplacée par la détermination de la concentration en carbone organique total. La limite donnée est dans ce cas <0,5 mg/L pour le carbone organique total.
La détermination de l’indice permanganate de potassium à chaud (en milieu alcalin ou acide) est largement utilisée pour déterminer la teneur en substance oxydable dans l’eau. Néanmoins, en raison de sa difficulté de mise en œuvre et des nombreuses interférences observées, nous remarquons dorénavant qu’il serait plus judicieux de remplacer cette méthode par la teneur en carbone organique total (COT) qui est plus fiable.
Hubert
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