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HM
Maître des clésBonjour Nico,
Non je n’ai jamais testé ce genre de procédé. Trop compliqué « pour tout le monde ».
En revanche, les patients ont un poste dédié. Ceci est nécessaire lorsque l’on utilise le logiciel Médial.
A Bientôt,
Hubert
HM
Maître des clésVoilà ce que nous faisons dans nos centres.
Prélèvements du traitement d’eau
Les prélèvements bactériologiques, endotoxines et physico chimique
sont effectués par le technicien de dialyse et ou les infirmières 1 fois par mois ou après une intervention sur l’osmoseur ou sur la boucle.
Les résultats sont archivés dans un classeur et dans l’informatique.
Circuit des retours de résultats
Résultats conformes :
§ Pour les analyses endotoxiniques, à J1 : le biologiste du laboratoire transmet les résultats des analyses endotoxiniques :
Au néphrologue présent,au pharmacien, au technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
§ Pour les analyses bactériologiques, à J8 : le biologiste transmet les résultats des analyses bactériologiques au néphrologue.
Au néphrologue présent,au pharmacien, au technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
Résultats non conformes :
§ Pour les analyses endotoxiniques, à J1 : le biologiste du laboratoire avertit et transmet les résultats :
– par téléphone au néphrologue présent, au pharmacien, au technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
– par fax dans le service d’hémodialyse
§ Pour les analyses bactériologique, à J3 : le biologiste:
– alerte par téléphone le néphrologue présent, le pharmacien, le technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins et transmet au plus tôt les résultats des analyses bactériologiques.
Les résultats ne sont définitifs qu’à J8.
Conduite à tenir en cas de non conformité sur le plan bactériologique, endotoxines et /ou sur le plan physico chimique.
Sur prescription du néphrologue, en concertation avec le pharmacien, le technicien de dialyse et/ou la surveillante de soins
§ Dans tous les cas, un prélèvement de contrôle est nécessaire le plus tôt possible.
Non-conformité du liquide de substitution :
Ä Arrêter immédiatement le traitement en mode « Online«
Ä Passer en mode hémodialyse (utilisation de poches stériles de sérum physiologiques)
Ä Pratiquer une désinfection thermochimique du générateur
Ä Effectuer des prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
– si résultat non conforme :
– actions correctives sur le générateur par le technicien de dialyse
– désinfection thermochimique,
– prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
§ si résultat conforme : validation de la technique en mode « Online »
Non-conformité du Dialysat ou Dialysat ultra pur :
Ä Arrêter immédiatement la dialyse
Ä Isoler le générateur
Ä Pratiquer une désinfection thermochimique du générateur
Ä Effectuer des prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
§ si résultat non-conforme.
– actions correctives sur le générateur par le technicien biomédical
– désinfection thermochimique,
– prélèvements microbiologiques et /ou endotoxiniques
§ si résultat conforme : validation de la technique en mode hémodialyse
Conduite à tenir en cas de non conformité sur le plan de la biochimie
Non-conformité du ionogramme du dialysat ou du dialysat ultra pur
Ä La situation est appréciée par le néphrologue présent, le pharmacien, le technicien de dialyse et/ou à la surveillante de soins
A bientôt
Hubert
HM
Maître des clésTest 15/07/2021
HM
Maître des clésBonjour,
La société IFMH commercialise une GMAO sous le nom de QB7.
<div class= »confit-address »>703 avenue du General de Gaulle, 38290 LA Verpillière</div>
<div class= »confit-phone »>04 74 99 81 60</div>
<div class= »confit-email »>contact@ifmh.fr</div>
<div></div>
<div>Hubert</div>HM
Maître des clésBonjour Alain,
Nous utilisons depuis quelques temps le COT en remplacement de l’indice permanganate. Cette analyse physico chimique est obligatoire dans les centres de dialyse. La fréquence est fonction du nombre de séance par an. Pour notre centre lourd , nous sommes supérieur à 10000 dialyses par an , donc elle est à faire tous les mois.
L’analyse des données récentes montre que la méthode au permanganate de potassium peut être remplacée par la détermination de la concentration en carbone organique total. La limite donnée est dans ce cas <0,5 mg/L pour le carbone organique total.
La détermination de l’indice permanganate de potassium à chaud (en milieu alcalin ou acide) est largement utilisée pour déterminer la teneur en substance oxydable dans l’eau. Néanmoins, en raison de sa difficulté de mise en œuvre et des nombreuses interférences observées, nous remarquons dorénavant qu’il serait plus judicieux de remplacer cette méthode par la teneur en carbone organique total (COT) qui est plus fiable.
Hubert
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